Homunculus by Aryensufi (translated from French, original French on the bottom)


The homunculus is not a being but deprived of a soul, traverses the activity of the molecules programmed so skillfully & very aesthetically according to the fashion of whose power on the forecourt dictates the appearance of the empty shell but in flesh of this thing that will disintegrate!

Like throws on a table not yet arranged in the middle of the great carphanaum where neither god nor conscience alternates decides anything, but, that slab does not navigate anywhere except without sense altier but in the void quenches its thirst of nothingness!


But which is not, however, persists as organized and bionic action where the consciousness of the will is lacking, unique and with only one eye but does not watch!


Fallen angel. On the ground of these insults before the audacity of the human shadow that would not be a Man. But confetti for the bored kid.


Demiurgic fatality of revolutions where a soul does not enter on any level with seriousness. Fatal image in symbiosis with the astral movement that spins, determines the undeniable algorithm. Who bruises the pre-eminence of the divine superb who would preside from the non-place of the Spirit who frees, blows there when he wants; Nevertheless to him the initial impetus to conquer by force his duty to seize the apparatus set in motion since fatal & hopeless for any entity whatever the domain of its numerical functions according to the order without consciousness dictated by the cerebral monopoly or other machination ... of the human; to create his destiny not as he would like but by a mysterious obligation to impose his metaphysical and conscious power incapable of incarcerating itself as a thing that would belong to this abominable manufacture filled with endless horrors and sadness!


The abominable abomination is to be destroyed.


Odinn. Odinn.


Odinn. Augustus soul of the Celestial Ideal. Sit here. Let me contemplate you a little. Here you are. Take your blood and DRINK!


Lull yourself with the song of the dying red Sun, and DRINK the tumultuous river of your mind. Black Sun reigning at the tomb of the South in the cold of the infernal knell.


Fenrir is the human atrocity. The capacitor surrounded by copper in long filaments of biodegradable terror.

The human who nevertheless mimics the image of Man is certainly nothing but mycosis gelatin.


An exchange between atomic elements that misleads the clever luminescent anatomy of the Star who chops from the tree of his bewitched sofa.


Neither taste of tragedy without tenderness, powerless of all compassion is the slave-bot, tailor-made. Who from cycle to cycle will realize in each Yuga, Epoque or Dharma from the amorphous mass of raw material the futility of the flesh as a finality.


Stretched by time. Through Time, for the tumble of a TIME. The extreme imperfection in the face of the god.


And it makes the human the golem of excusable/forgivable nonsense during endless kalpa. 1000 Billion of a wheel that constantly reevolves for the failure of a cycle & the hatching of the one that is not yet hatched.


Programmable slave made of flesh and bone and blood without fire. Confection through ideas and slave schools by myriads offered in perpetuity. For the good of Humanity.

Puppet racialized like a horse, cattle on top of the market concud; A shame on the God who alone will emerge from this whole!


The Human is not a Man but the poor simulacrum of what he should probably be. And so all the amazed programs of the gente full of extraordinary sapience, bringing relief doctorfully planned, render useless!


The homunculus is an inanimate bag of flesh. Clay in glebe, than limestone bone when it faints into lime. The human is the coffin for the soul of majesty.


Man the god who bewitched himself.

L’homunculus n’est pas un être mais privé d’une âme, parcourt l’activité des molécules programmées de façon si adroite & très esthétique selon la mode de qui au pouvoir sur le parvis dicte l’apparence de la coque vide mais bien en chair de cette chose qui se désintégrera !

Comme des dès lancés sur une table pas encore aménagée au milieu du grand carphanaüm où ni dieu ni conscience alterne ne décide de rien, mais, de que dalle ne navigue nullement nulle part si ce n’est sans sens altier mais dans le vide se désaltère du néant !

Mais qui n’est pas pourtant, persiste comme action organisée et bionique où la conscience de la volonté est en manque, unique et avec un seul oeil mais ne veille pas !

Ange déchu. Sur le terrain de ces insultes devant l’audace de l’ombre humaine qui ne serait pas un Homme. Mais du confetti pour le gamin qui s’ennuie.

Fatalité démiurgique des révolutions où une âme n’y entre point sur aucun plan avec sérieux. Image fatale en symbiose avec le mouvement astral qui tournoie, détermine l’algorithme indéniable. Qui meurtrit la prééminence du divin superbe qui présiderait depuis le non-lieu de l’Esprit qui libre, souffle là quand il veut; néanmoins à lui l’initial impetus de conquérir de force son devoir à se saisir de l’apparatus mis en marche puisque fatal & sans espoir pour aucune entité quel que soit le domaine de ses fonctions numériques selon l’ordre sans conscience dicté par la monopole cérébrale ou autre machination….de l’humain; de créer son destin non comme il le souhaiterait mais par une mystérieuse obligation d’imposer sa puissance métaphysique & consciente incapable de s’incarcérer comme une chose qui appartiendrait à cette manufacture abominable remplie d’horreurs et de tristesses interminables !

L’abominable abomination est à détruire.

Odinn. Odinn.

Odinn. Auguste âme de l’Idéal Céleste. Assieds-toi ici. Que je te contemple un peu. Tiens. Prends ton sang et BOIS !

Berce-toi avec le chant du Soleil rouge qui meurt, et BOIS le fleuve tumulteueux de ton esprit. Soleil Noir qui règne au tombeau du Midi dans le froid de l’infernal glas.

Fenrir est l’humaine atrocité. Le capacitor entouré de cuivre en longs filaments de terreur biodégradable.

L’humain qui pourtant mimique l’image de l’Homme n’est certes rien que de la gélatine mycose.

Un échange entre éléments atomiques qui induit en erreur la savante luminescente anatomie de l’Estoile qui choit de l’arbre de sa canapé envoutée.

Ni goût de tragique sans tendresse, impuissant de toute compassion est l’esclave-bot, fait sur mesure. Qui de cycle en cycle réalisera en chaque Yuga, Epoque ou Dharma à partir de la masse amorphe de la matière première la futilité de la chair comme finalité.

Etiré par le temps. A travers le Temps, pour la culbute d’un TEMPS. L’extreme imperfection face au dieu.

Et il fait de l’humain le golem des bêtises excusables/pardonnables pendant des kalpa sans fin. 1000 Milliards d’une roue qui revolve sans cesse pour l’échec d’un cycle & l’éclosion de celui qui n’en est pas encore éclos.

Esclave programmable fait de chair et d’os et de sang sans feu. Confection grâce à des idées et des écoles d’esclave par myriads offerts à perpétuité. Pour le bien de l’Humanité.

Pantin racialisé comme un cheval, du bétail par-dessus le marché concu; une honte au dieu qui seul émergera de ce tout !

L’Humain n’est pas un Homme mais la piètre simulacre de ce qu’il devrait surement sans doute être. Et qu’ainsi tous les programmes émerveillés de la gente pleine d’une sapience extraordinaire, apportant de secours doctement planifiés, rendent inutiles !

L’homonculus est un sac de chair inanimé. D’argile en glèbe, que de l’os en calcaire quand il tombe évanoui en chaux. L’humain est le cercueil pour l’âme de majestie.

L’Homme le dieu qui s’est ensorcelé.

Sourced From The Homunculus - the Aryensufi (substack.com)

Comments

  1. A rather cynical and harsh piece. So are we all destined for the lake of fire? Interesting your reference to "red Sun". Serrano speaks of this as Loki in Avatar, the inner sun. I assume this is meant alchemically as the hidden god within?

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